A mon tour de chouiner ... mais avec panache !!
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A mon tour de chouiner ... mais avec panache !!
Objet : Lamentations d’un damné, errant dans l’enfer des bannis
Vanité des vanités, tout ceci n’est que vent et chimères. Ô vous qui croyez mener ici quelque noble bataille, descendez de vos montures d’apparat, cessez d’agiter vos étendards illusoires ! Ce théâtre où vous jouez les preux chevaliers de la Vérité n’est qu’un tréteau vermoulu, un décor de pacotille où l’on se bat en ombre et en écho. Rien ne s’y décide, rien ne s’y forge, sinon l’éphémère illusion d’un combat imaginaire. Ce que vous prenez pour une guerre sainte, je ne le vois que comme un jeu : la farce d’un bannissement, le simulacre d’un exil, l’inéluctable retour du proscrit en triomphe. Ah ! Comme vous vous bercez d’illusions en pensant détenir quelque pouvoir sur les âmes !
Ô augustes censeurs, gardiens immaculés de la Vérité et du Bien absolu,
C’est d’une main tremblante – non de remords, mais sous le poids accablant de l’injustice – que je vous adresse cette divertissante missive. Me voici, victime expiatoire de votre grand œuvre, crucifié sur l’autel de la bien-pensance inquisitrice, jeté dans les limbes pour avoir osé manier une plume trop affûtée, trop acerbe, trop libre. Hélas, mon ironie n’a pas trouvé grâce aux yeux des âmes sensibles qui vous ont suppliés, la voix tremblante, de me faire taire. Ce n’est point votre main qui m’a exécuté, mais celles de ces délateurs, ces flagorneurs pleurnichards, incapables de soutenir le moindre vent contraire.
Avant-hier encore, je parcourais les sentiers interdits du débat, insouciant de ma trop grande présence, aveugle à ma propre aura. Trop tranchant, trop charismatique, trop de droite, trop populaire (ou populiste, selon leurs caprices), j’étais un élément perturbateur au sein de cette confrérie où l’individualité ne peut être tolérée que sous certaines latitudes idéologiques. Quelle outrecuidance que de déranger l’équilibre fragile de ces esprits inconsistants, ces âmes fragiles qui, faute d’arguments, ne savent qu’invoquer votre jugement pour me bannir !
Et me voici, relégué dans l’ombre, tel Dante entamant sa descente aux Enfers, croisant les ombres de ceux que l’Histoire a déjà relégués à l’oubli, non pour leurs fautes, mais pour leur insoumission. Cette première journée d’exil fut un supplice digne des plus grandes tragédies. Dans l’obscurité glaciale de ma cellule, j’ai longuement contemplé les marques laissées par ceux qui m’ont précédé dans ce goulag virtuel. Des esprits forts, broyés par le rouleau compresseur du conformisme, oubliés dans les méandres de cette justice expéditive réclamée par des pleutres incapables d’affronter un débat sans en appeler à l’autorité supérieure.
Un frisson me parcourut... Serai-je, moi aussi, condamné à l’effacement, tel Cicéron dont la langue fut clouée pour avoir osé défier les despotes ? À devenir une légende dont le nom se murmure avec crainte, un spectre dont la mémoire hante les vestiges de discussions trop libres, trop vivantes, trop audacieuses ?
Mais non ! Je refuse de disparaître dans l’indifférence ! Si ma verve insupporte ces âmes chétives, c’est qu’elle a porté juste. Si ma présence les dérange, c’est qu’elle était trop éclatante. Ils ne m’ont pas dénoncé pour ce que je dis, mais pour ce que je représente : une pensée qui ne ploie pas, un esprit qui refuse de s’agenouiller devant leur vacuité, un électron libre au sein de leur mécanique bien huilée d’approbations mutuelles.
Ah ! Que leur victoire est dérisoire, mais que mon bannissement est glorieux ! Comme Socrate buvant la ciguë sans trembler, comme Jeanne d’Arc brûlant sous les cris d’un peuple docile, je subis leur sentence avec fierté, car c’est dans l’épreuve que se forgent les âmes indomptables.
Qu’ils se rassurent, cependant, car je ne quémande ni grâce ni réhabilitation. J’assume pleinement mon bannissement, ultime preuve que mes mots les ont transpercés. Et que dire de ces cinq jours d’emprisonnement qu’ils espèrent être mon Golgotha, mon épreuve ultime, mon reniement forcé ? Ah ! Dans leur folle arrogance, ils s’imaginent sans doute que le grand inquisiteur, drapé dans sa toge de vertu, viendra chaque jour inspecter ma geôle, plongeant ses yeux impérieux dans les miens, cherchant la faille, la fissure où s’engouffrerait ma soumission.
Ils rêvent d’un silence accablé, d’un regard fuyant, de la résignation imprimée sur mes traits. Mais qu’ils déchantent ! Ce qu’ils prennent pour une torture, je le vis comme une ascèse, un pèlerinage intérieur où se resserre l’acier de mon âme. Chaque jour d’ombre me purifie, chaque heure d’isolement aiguise ma plume et renforce ma détermination. Je ne ressortirai pas brisé de ces geôles, mais galvanisé, invincible, comme un lion que l’on croit affamer mais qui, en vérité, ne fait que s’apprêter à bondir
Je reviendrai, plus grand, plus fort, nourri de ce bannissement comme Prométhée de son supplice, régénéré à chaque tourmente. Que les pleurnichards se lamentent et que les inquisiteurs aiguisent leurs fourches : je serai de retour sous les acclamations des esprits libres, ma verve plus acérée que jamais, mon ironie plus implacable encore. Ils ont cru m’anéantir ; ils n’ont fait que me consacrer. Et lorsque mon ombre réapparaîtra sur leurs rivages aseptisés, ils comprendront, mais trop tard, qu’ils n’avaient jamais eu affaire à une cible facile, mais à une hydre renaissant de ses cendres.
Je reviendrai, et ce sera leur pire défaite.
Avec une ferveur indomptable,
Votre dévoué, Schaltzmann
P.S. Que nul ne voie ici la plainte d’un martyr,
Je ris de mon exil, il ne peut m’affaiblir.
J’écris pour ceux, hélas, qu’en ces jours je délaisse,
Mais qui savent pourtant que j’éclaire sans cesse.
Si ma verve leur manque et trouble leur sommeil,
Qu’ils sachent qu’à mon retour je brillerai pareil !
Ainsi, doux exilés, que mon absence blesse,
Recevez sur vos fesses une ardente caresse.
Croyez moi, ce fut un véritable plaisir pour moi de produire et de barbouiller ces quelques lignes ... Ne vous méprenez cependant pas, tout ceci n'est que farce et galéjade.
Merci à vous qui avez eu l'immense sagesse et la saine curiosité de lire ces mots jusqu'au bout. Je ne fais, ici, qu'honorer de ma divine présence ceux à qui je dois cruellement manquer !!
Vanité des vanités, tout ceci n’est que vent et chimères. Ô vous qui croyez mener ici quelque noble bataille, descendez de vos montures d’apparat, cessez d’agiter vos étendards illusoires ! Ce théâtre où vous jouez les preux chevaliers de la Vérité n’est qu’un tréteau vermoulu, un décor de pacotille où l’on se bat en ombre et en écho. Rien ne s’y décide, rien ne s’y forge, sinon l’éphémère illusion d’un combat imaginaire. Ce que vous prenez pour une guerre sainte, je ne le vois que comme un jeu : la farce d’un bannissement, le simulacre d’un exil, l’inéluctable retour du proscrit en triomphe. Ah ! Comme vous vous bercez d’illusions en pensant détenir quelque pouvoir sur les âmes !
Ô augustes censeurs, gardiens immaculés de la Vérité et du Bien absolu,
C’est d’une main tremblante – non de remords, mais sous le poids accablant de l’injustice – que je vous adresse cette divertissante missive. Me voici, victime expiatoire de votre grand œuvre, crucifié sur l’autel de la bien-pensance inquisitrice, jeté dans les limbes pour avoir osé manier une plume trop affûtée, trop acerbe, trop libre. Hélas, mon ironie n’a pas trouvé grâce aux yeux des âmes sensibles qui vous ont suppliés, la voix tremblante, de me faire taire. Ce n’est point votre main qui m’a exécuté, mais celles de ces délateurs, ces flagorneurs pleurnichards, incapables de soutenir le moindre vent contraire.
Avant-hier encore, je parcourais les sentiers interdits du débat, insouciant de ma trop grande présence, aveugle à ma propre aura. Trop tranchant, trop charismatique, trop de droite, trop populaire (ou populiste, selon leurs caprices), j’étais un élément perturbateur au sein de cette confrérie où l’individualité ne peut être tolérée que sous certaines latitudes idéologiques. Quelle outrecuidance que de déranger l’équilibre fragile de ces esprits inconsistants, ces âmes fragiles qui, faute d’arguments, ne savent qu’invoquer votre jugement pour me bannir !
Et me voici, relégué dans l’ombre, tel Dante entamant sa descente aux Enfers, croisant les ombres de ceux que l’Histoire a déjà relégués à l’oubli, non pour leurs fautes, mais pour leur insoumission. Cette première journée d’exil fut un supplice digne des plus grandes tragédies. Dans l’obscurité glaciale de ma cellule, j’ai longuement contemplé les marques laissées par ceux qui m’ont précédé dans ce goulag virtuel. Des esprits forts, broyés par le rouleau compresseur du conformisme, oubliés dans les méandres de cette justice expéditive réclamée par des pleutres incapables d’affronter un débat sans en appeler à l’autorité supérieure.
Un frisson me parcourut... Serai-je, moi aussi, condamné à l’effacement, tel Cicéron dont la langue fut clouée pour avoir osé défier les despotes ? À devenir une légende dont le nom se murmure avec crainte, un spectre dont la mémoire hante les vestiges de discussions trop libres, trop vivantes, trop audacieuses ?
Mais non ! Je refuse de disparaître dans l’indifférence ! Si ma verve insupporte ces âmes chétives, c’est qu’elle a porté juste. Si ma présence les dérange, c’est qu’elle était trop éclatante. Ils ne m’ont pas dénoncé pour ce que je dis, mais pour ce que je représente : une pensée qui ne ploie pas, un esprit qui refuse de s’agenouiller devant leur vacuité, un électron libre au sein de leur mécanique bien huilée d’approbations mutuelles.
Ah ! Que leur victoire est dérisoire, mais que mon bannissement est glorieux ! Comme Socrate buvant la ciguë sans trembler, comme Jeanne d’Arc brûlant sous les cris d’un peuple docile, je subis leur sentence avec fierté, car c’est dans l’épreuve que se forgent les âmes indomptables.
Qu’ils se rassurent, cependant, car je ne quémande ni grâce ni réhabilitation. J’assume pleinement mon bannissement, ultime preuve que mes mots les ont transpercés. Et que dire de ces cinq jours d’emprisonnement qu’ils espèrent être mon Golgotha, mon épreuve ultime, mon reniement forcé ? Ah ! Dans leur folle arrogance, ils s’imaginent sans doute que le grand inquisiteur, drapé dans sa toge de vertu, viendra chaque jour inspecter ma geôle, plongeant ses yeux impérieux dans les miens, cherchant la faille, la fissure où s’engouffrerait ma soumission.
Ils rêvent d’un silence accablé, d’un regard fuyant, de la résignation imprimée sur mes traits. Mais qu’ils déchantent ! Ce qu’ils prennent pour une torture, je le vis comme une ascèse, un pèlerinage intérieur où se resserre l’acier de mon âme. Chaque jour d’ombre me purifie, chaque heure d’isolement aiguise ma plume et renforce ma détermination. Je ne ressortirai pas brisé de ces geôles, mais galvanisé, invincible, comme un lion que l’on croit affamer mais qui, en vérité, ne fait que s’apprêter à bondir
Je reviendrai, plus grand, plus fort, nourri de ce bannissement comme Prométhée de son supplice, régénéré à chaque tourmente. Que les pleurnichards se lamentent et que les inquisiteurs aiguisent leurs fourches : je serai de retour sous les acclamations des esprits libres, ma verve plus acérée que jamais, mon ironie plus implacable encore. Ils ont cru m’anéantir ; ils n’ont fait que me consacrer. Et lorsque mon ombre réapparaîtra sur leurs rivages aseptisés, ils comprendront, mais trop tard, qu’ils n’avaient jamais eu affaire à une cible facile, mais à une hydre renaissant de ses cendres.
Je reviendrai, et ce sera leur pire défaite.
Avec une ferveur indomptable,
Votre dévoué, Schaltzmann
P.S. Que nul ne voie ici la plainte d’un martyr,
Je ris de mon exil, il ne peut m’affaiblir.
J’écris pour ceux, hélas, qu’en ces jours je délaisse,
Mais qui savent pourtant que j’éclaire sans cesse.
Si ma verve leur manque et trouble leur sommeil,
Qu’ils sachent qu’à mon retour je brillerai pareil !
Ainsi, doux exilés, que mon absence blesse,
Recevez sur vos fesses une ardente caresse.
Croyez moi, ce fut un véritable plaisir pour moi de produire et de barbouiller ces quelques lignes ... Ne vous méprenez cependant pas, tout ceci n'est que farce et galéjade.
Merci à vous qui avez eu l'immense sagesse et la saine curiosité de lire ces mots jusqu'au bout. Je ne fais, ici, qu'honorer de ma divine présence ceux à qui je dois cruellement manquer !!
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Re: A mon tour de chouiner ... mais avec panache !!
^^
Dernière modification par ClaraBistouille le mar. avr. 01, 2025 8:26 pm, modifié 1 fois.
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Re: A mon tour de chouiner ... mais avec panache !!
Le vent de la lâcheté a soufflé, laissant derrière lui un vide plus parlant que n'importe quel message.
Clara', où est donc passée ta réponse que tu as courageusement remplacée par ces circonflexes grotesques ? Tu avais pourtant pris la peine d'écrire, que dis-je écrire… de pondre cette laborieuse accusation à peine auréolée de la couronne du sarcasme mal dosé "Merci ChatGPT au passage" sous entendant que moi, Schaltzmann le Grand, le Sublime, l'Irrévérencieux, serais incapable d'un tel lyrisme et d'un tel enthousiasme littéraire, et pensant décocher une flèche d'ironie…
Une flèche en mousse, sans force, sans éclat.
Et pour parachever le tout, une image, une esquisse, un gribouillage sans âme aussi terne que ta "pique".
Mais alors, dis moi Clara', pourquoi avoir tout effacé ? Un éclair de lucidité ? La morsure du ridicule face à ma réplique, tranchante et sans appel ?
On sait tous la réponse. Tu as préféré faire disparaître ta propre audace plutôt que d'en assumer l'absurdité. Qu'il en soit ainsi : que l'ombre recouvre ce qui ne méritait déjà que l'oubli….
Ma riposte à cette vaine tentative de me discréditer est toujours là ci-dessous, je ne l'effacerai pas, car nous ne sommes définitivement pas faits du même bois, ce que je dis, je l'assume.
La réponse :
Ah ! L’éternel soupçon des âmes en détresse, le cri d’alarme de l’impuissance devant la grandeur !
Déjà, au Scrabble, dans ces joutes où l’esprit s’élance et s’affirme, les faibles, troublés par la fulgurance des forts, ne savent voir en leur éclat qu’un artifice, une ruse, une tricherie. Lorsque le génie d’un 7 lettres dépasse l’entendement du commun, aussitôt monte la clameur : C’est un anagrammeur ! Comme si une pensée brillante et élevée ne pouvait être que le fruit d’une machine, comme si un esprit, par sa seule grandeur, devenait inhumain aux yeux de ceux qui rampent....
Et voici que maintenant, l’histoire bégaie, le soupçon renaît, affublé d’un nom neuf : ChatGPT. Haha !!
Que l’on écrive avec éclat, que l’on manie la phrase avec trop d’aisance, et déjà l’accusation tombe, inexorable et pauvre : Merci ChatGPT ( Mon dieu que de bassesse..)
Comme si la beauté de la pensée humaine devait nécessairement s’éteindre, comme si l’intelligence ne pouvait plus être qu’artificielle. Peut être ne l'est-elle pour certains .... ou certaines ...
Ô misérable défiance ! N’est-ce pas là le cri des esprits qui se savent vaincus, la plainte de ceux qui, n’ayant su gravir la montagne, accusent le sommet d’être inaccessible ?
Et, suivant la coutume bien établie de dévoiler ici ses modestes croûtes, je m'adonne à ce rite en partageant ces deux esquisses de ma main, œuvres qui, connaissant la nature dubitative de certains ou certaines..... risquent d'être qualifiées de "faux" ou, pire encore, soupçonnées d'être l'œuvre d'une IA quelconque...
Clara', où est donc passée ta réponse que tu as courageusement remplacée par ces circonflexes grotesques ? Tu avais pourtant pris la peine d'écrire, que dis-je écrire… de pondre cette laborieuse accusation à peine auréolée de la couronne du sarcasme mal dosé "Merci ChatGPT au passage" sous entendant que moi, Schaltzmann le Grand, le Sublime, l'Irrévérencieux, serais incapable d'un tel lyrisme et d'un tel enthousiasme littéraire, et pensant décocher une flèche d'ironie…
Une flèche en mousse, sans force, sans éclat.
Et pour parachever le tout, une image, une esquisse, un gribouillage sans âme aussi terne que ta "pique".
Mais alors, dis moi Clara', pourquoi avoir tout effacé ? Un éclair de lucidité ? La morsure du ridicule face à ma réplique, tranchante et sans appel ?
On sait tous la réponse. Tu as préféré faire disparaître ta propre audace plutôt que d'en assumer l'absurdité. Qu'il en soit ainsi : que l'ombre recouvre ce qui ne méritait déjà que l'oubli….
Ma riposte à cette vaine tentative de me discréditer est toujours là ci-dessous, je ne l'effacerai pas, car nous ne sommes définitivement pas faits du même bois, ce que je dis, je l'assume.
La réponse :
Ah ! L’éternel soupçon des âmes en détresse, le cri d’alarme de l’impuissance devant la grandeur !
Déjà, au Scrabble, dans ces joutes où l’esprit s’élance et s’affirme, les faibles, troublés par la fulgurance des forts, ne savent voir en leur éclat qu’un artifice, une ruse, une tricherie. Lorsque le génie d’un 7 lettres dépasse l’entendement du commun, aussitôt monte la clameur : C’est un anagrammeur ! Comme si une pensée brillante et élevée ne pouvait être que le fruit d’une machine, comme si un esprit, par sa seule grandeur, devenait inhumain aux yeux de ceux qui rampent....
Et voici que maintenant, l’histoire bégaie, le soupçon renaît, affublé d’un nom neuf : ChatGPT. Haha !!
Que l’on écrive avec éclat, que l’on manie la phrase avec trop d’aisance, et déjà l’accusation tombe, inexorable et pauvre : Merci ChatGPT ( Mon dieu que de bassesse..)
Comme si la beauté de la pensée humaine devait nécessairement s’éteindre, comme si l’intelligence ne pouvait plus être qu’artificielle. Peut être ne l'est-elle pour certains .... ou certaines ...
Ô misérable défiance ! N’est-ce pas là le cri des esprits qui se savent vaincus, la plainte de ceux qui, n’ayant su gravir la montagne, accusent le sommet d’être inaccessible ?
Et, suivant la coutume bien établie de dévoiler ici ses modestes croûtes, je m'adonne à ce rite en partageant ces deux esquisses de ma main, œuvres qui, connaissant la nature dubitative de certains ou certaines..... risquent d'être qualifiées de "faux" ou, pire encore, soupçonnées d'être l'œuvre d'une IA quelconque...
Dernière modification par schaltzmann le mer. avr. 02, 2025 6:35 pm, modifié 2 fois.
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- Inscription : mer. déc. 30, 2015 9:28 pm
Re: A mon tour de chouiner ... mais avec panache !!
Tant pis...
Dernière modification par AnnaGrahmer le mar. avr. 01, 2025 8:27 pm, modifié 1 fois.
Re: A mon tour de chouiner ... mais avec panache !!
Belle plume Mann!! 

Re: A mon tour de chouiner ... mais avec panache !!
Comme dab , tout en finesse et intelligence
beaux dessins
beaux dessins
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- Inscription : dim. oct. 18, 2015 2:25 pm
Re: A mon tour de chouiner ... mais avec panache !!
« L'humour noir est comme un feu : il peut réchauffer, mais s'il n'est pas maîtrisé, il peut aussi brûler. »
Profite donc de ton talent d'orateur et de ta verve.... pour que tes mots soient source de détente et de rire....plutôt que de mots acerbes, dénigrants et harcelants .(cf ta démonstration brillante qui t a valu ce ban)
"tu sais Maurice il ne faut pas dépasser les bornes des limites" (citation d un grand philosophe français )
Je ne doute pas que dans le froid de ta cellule te te dise "cause toujours" je fais ce que je veux.
Moi en t apportant des oranges je ne me lasserai pas de te dire ce que je pense avec la même Energie
Mince je ne sais pas dessiner.....
Profite donc de ton talent d'orateur et de ta verve.... pour que tes mots soient source de détente et de rire....plutôt que de mots acerbes, dénigrants et harcelants .(cf ta démonstration brillante qui t a valu ce ban)
"tu sais Maurice il ne faut pas dépasser les bornes des limites" (citation d un grand philosophe français )
Je ne doute pas que dans le froid de ta cellule te te dise "cause toujours" je fais ce que je veux.
Moi en t apportant des oranges je ne me lasserai pas de te dire ce que je pense avec la même Energie
Mince je ne sais pas dessiner.....
Re: A mon tour de chouiner ... mais avec panache !!
Profite pour lire ta collection
tu nous manques
Re: A mon tour de chouiner ... mais avec panache !!
Mon bien curieux Shaltz,
votre bannissement soudain, brutal et imprévu me fut bizarre.
Il me parait étrange (zavez vu je mets plein se synonymes) qu'en cet an 2025
de je ne sais plus quel thermidor d'ailleurs,
les esprits soient incapables de dépasser le second et plus encore le 3ème voire 4ème degré.
Tant qu'il y a de l'esprit il y a de l'espoir et vous me semblez un cas moins désespéré qu'il n'y paraisse...
Pour en revenir à ce malheureux chien que vous dites le votre...j'hésite encore beaucoup.
Folie? Acharnement???
L'oeil est terne, la croupe avachie, le bide traîne par terre et il il a une toute petite tête.
Je ne dénonce jamais mais je vas viendre vous donner un coup de pelle.
Bien à vous et cependant, revenez vite cher Mann,
un paysage n'est point parfait sans ses imperfections (bienvenue au club).
votre bannissement soudain, brutal et imprévu me fut bizarre.
Il me parait étrange (zavez vu je mets plein se synonymes) qu'en cet an 2025
de je ne sais plus quel thermidor d'ailleurs,
les esprits soient incapables de dépasser le second et plus encore le 3ème voire 4ème degré.
Tant qu'il y a de l'esprit il y a de l'espoir et vous me semblez un cas moins désespéré qu'il n'y paraisse...
Pour en revenir à ce malheureux chien que vous dites le votre...j'hésite encore beaucoup.
Folie? Acharnement???
L'oeil est terne, la croupe avachie, le bide traîne par terre et il il a une toute petite tête.
Je ne dénonce jamais mais je vas viendre vous donner un coup de pelle.
Bien à vous et cependant, revenez vite cher Mann,
un paysage n'est point parfait sans ses imperfections (bienvenue au club).