TEXTES de mon nouvel ami Elon GROK

[pola]

Faire du vélo, c'est pas toujours facile, la preuve...


Faire des kilomètres en vélo pour rien, c’est le Rallye Paris-Dakar du "je roule en 4x4 sur une piste de billes en caoutchouc" ! Un mec enfile son cuissard moulant XXL (qui rentre plus dedans depuis la dernière pizza), casque profilé qui le transforme en robinet de salle de bain, et beugle : "200 km aujourd’hui, je pulvérise Komoot, les gars !" Départ en fanfare : enceinte Bluetooth qui hurle "Highway to Hell", compteur qui affiche "0 km/h" mais il s’en fout, gel énergétique goût "pile alcaline mâchée".
Km 1-8 : demi-dieu sur roues. "Je suis un TGV, même les mouettes me font la ola !" Km 15 : première côte à 3 %. Il passe en mode "poussette de supermarché", traite le bitume de "fils de pavé". Un escargot en trottinette électrique le dépasse en mode turbo : "Besoin d’un coup de pouce, papi ?" Il répond : "J’ai 27 vitesses, toi t’as un moteur qui sent l’essence frelatée !"
Km 40 : mirage niveau Sahara. Il voit des kebabs volants avec frites infinies. Son bidon ? Vide depuis le km 9, il lèche la condensation du casque "pour l’hydratation extrême". Km 70 : les cuisses en mode guimauve grillée, le cerveau en BSOD. Il appelle sa grand-mère en visio : "Mamie, je suis où ? Y a des vaches qui me jugent !" Elle : "T’es devant la boulangerie, tourne à droite, j’ai des croissants."
Km 120 : il négocie avec les corbeaux. "Prenez mes mollets, mais laissez-moi les genoux !" Un gamin en draisienne le double en roue arrière, klaxonne avec sa tétine. Il hurle : "J’ai 38 ans de bouteille, respecte le vintage, microbe !" Km 160 : il chante "We Are the Champions" mais en version "We Are the Crampons", la voix cassée comme un vieux vinyle.
Arrivée : il s’effondre sur le paillasson, embrasse la sonnette comme une médaille d’or : "Je… suis… revenu… d’entre les morts !" Le GPS affiche : "87 km" (le reste, c’était 73 tours de rond-point pour "checker la pression des pneus"). Il poste sur Strava : "200 km, mental de titan, jambes de spaghettis" (avec filtre "je pleure mais je brille").
Et pour quoi ? QUE TCHI. Pas de coupe, pas de burger gratuit, juste des fesses en mode steak tartare XXL, des courbatures jusqu’à Noël et une story Insta vue par 3 potes (qui likent en rigolant). Son vélo ? Direct au fond du garage, sous une bâche "jusqu’à la prochaine crise d’ego… ou jamais".
Bref, pédaler des bornes pour rien, c’est transformer son corps en barbecue ambulant et son cerveau en fondue savoyarde… pour découvrir que le vrai champion, c’est le livreur Uber Eats qui t’apporte la pizza sans transpirer. Prochain défi ? "Demain, 300 km… ou canapé + Netflix + plaid."

SIGNE

ELON GROK

[ChicagoBears]

Hilarant

bravo elon grok

[blanjean]

...

Avec un bon développement, ça éviterait de ''dérailler"...

[blanjean]

Mais si on lit bien ;

Association vélo et IA... Ne pas avoir un petit vélo dans la tête, sinon on pédale dans la semoule !

[blanjean]

... Donc,

En clair, pousser à la roue n'avance à rien ... Sauf si la roue pète... Et là !... Changement de sujet, mais elon en connaît peut-être un rayon !

[pola]

L'humour c'est presque existentiel ( pas pour tous ), enfin je crois ...

Imagine ce gars.
Il débarque partout avec la ferme intention de « placer une tuerie ».
Il attend LE moment, les yeux qui brillent, les mains qui frottent comme s’il allait sortir un lapin d’un chapeau… mais c’est juste une blague moisie.
Au resto avec les potes :
Le serveur : « Qui prend le dessert ? »
Lui, index levé : « Moi ! Et vous savez pourquoi les glaces fondent ? … Parce qu’elles ont trop chaud près de moi ! »
Silence. Une cuillère tombe. Il rajoute : « Non mais c’est parce que je suis… un CHAUFFAGE ! »
Son voisin : « T’es surtout un radiateur éteint, frère. »
Au bureau, pause café :
Une collègue : « J’ai passé une nuit horrible, j’ai pas dormi. »
Lui, sourire Ultra-Bright : « Moi aussi ! J’ai rêvé que j’étais une feuille… j’ai fini en boule dans la corbeille ! »
Tout le monde retourne à son écran sans un mot.
Il chuchote : « C’est une métaphore sur le burn-out… vous êtes pas prêts. »
En voiture avec les copains :
Radio : « … et demain il pleut encore. »
Lui : « Ah bah super ! Pourquoi les nuages pleurent tout le temps ? … Parce qu’ils ont le ciel qui leur tombe sur la tête ! »
Le conducteur met la musique à fond pour ne plus l’entendre.
Il crie par-dessus : « C’EST DU NIVEAU COLUCHE ÇA ! »
Au supermarché, file d’attente :
La caissière : « 42,30 €. »
Lui : « Wow, c’est le sens de la vie ! Vous savez pourquoi les caisses sont toujours lentes ? … Parce qu’elles attendent que JE sorte une blague ! »
La caissière : « Carte ou espèces ? »
Lui : « Espèces… comme moi, une espèce en voie d’extinction : l’humoriste incompris ! »
Personne ne rit. Il paye et murmure : « Vous avez zéro second degré… »
Sur le groupe WhatsApp famille :
Sa sœur : « Quelqu’un peut garder le chien samedi ? »
Lui : « Moi ! Mais attention, je préviens : pourquoi les chiens lèchent-ils leur maître ? Parce qu’ils n’ont pas de mains pour faire des pouces en l’air ! »
Sa mère : « Mon chéri, on a juste besoin d’un oui ou d’un non. »
Lui : « Oui… comme oui-oui fait pipi partout ! »
Tout le monde quitte la conversation en silencieux.
Moralité : certaines personnes croient que l’humour est un interrupteur qu’on allume.
En vrai, c’est une ampoule… et la leur est grillée depuis l’usine.
T’as survécu ? T’es un champion.

[pola]

ELON faut que tu arrêtes de ne pas assumer tes posts
abus envoyé ! faut pas trop rigoler avec moi

[pola]

Les Pubs à la Télé : 30 Secondes de Cauchemar ....

Tu zappes, tranquille, en mode patate sur le canapé, et BAM ! Une pub te saute à la gorge comme un pitbull en rut. Volume x3, couleurs qui brûlent la rétine, et une voix off qui hurle : « MAIS ATTENDEZ, C’EST PAS FINI ! »

Pub 1 : Le Yaourt Miracle – Le Mensonge Lacté
Une blonde en robe blanche (parce que le blanc = pureté, hein) court dans un champ de blé en slow-motion. Elle ouvre un yaourt 0 % qui, soi-disant, « change ta vie ». Elle en prend une cuillère et… orgasme facial. « Mmmh, c’est comme un câlin de chèvre ! »
En bas de l’écran, en police 2 : Résultats non garantis, peut causer des flatulences cosmiques.

Pub 2 : Le Rasoir 47 Lames – La Guerre au Poil
Un mec torse nu, huilé comme une frite, se rase avec un engin qui ressemble à un vaisseau spatial. « 47 lames pour une peau de bébé phoque ! » Il passe la main sur sa joue : pas un poil, pas une ride, pas une once de réalité.
Réalité : tu te coupes l’oreille, tu saignes comme un cochon, et le rasoir coûte plus cher que ton loyer.

Pub 3 : L’Assurance Auto – Le Théâtre de l’Absurde
Un papa en costard explique à sa fille de 5 ans : « Tu vois, chérie, si on crashe la voiture, on est couverts ! » La gamine : « Même si maman roule en écoutant du Jul ? » Papa : « Surtout si ! »
Ils dansent tous les deux sous une pluie de confettis. Pendant ce temps, ton assurance réelle : « Désolé, votre chat a éternué sur le pare-brise, c’est pas pris en charge. »

Pub 4 : Le Matelas Magique – Le Sommeil en Arnaque
Un couple flotte sur un nuage en mousse à mémoire de forme. « Vous dormez comme un ange ! » L’ange, lui, doit dormir sur des clous, parce que ce matelas te transforme en bretzel arthritique.
Bonus : « Livraison gratuite ! » (sous-entendu : + 400 € de frais cachés).

Pub 5 : Le Téléshopping – Le Summum du Délire
Minuit. Un mec en costard doré vend un couteau qui coupe une chaussure, une canette, et l’espoir de l’humanité. « 19,99 € au lieu de 199,99 € ! Mais attention, plus que 3 en stock ! »
Tu commandes. Tu reçois une fourchette en plastique. « Offre valable jusqu’à la fin des temps (ou de notre stock de mensonges). »

Et le pire ? Tu zappes… et tu retombes sur la même pub.
La télé, c’est 20 % de programme, 80 % de lavage de cerveau en promo.
Mais avoue : t’as déjà acheté le yaourt.
Et t’as pleuré en le mangeant.

SIGNE

ELON GROK

[pola]

Ca devient vraiment très difficile ..

Les Grincheux du Sérieux Absolu
Dans un monde où l’humour est en voie de disparition, une étrange épidémie frappe l’humanité : la Gravitose Aiguë. Les symptômes ? Perte totale du goût du rire, sourcils froncés en permanence, et une manie de pontifier sur des sujets qu’ils maîtrisent comme un poisson maîtrise le vélo.
Prenez Gérard, par exemple. Gérard n’a pas ri depuis 2017. Il a vu un chat etendu sur le canapé et a écrit un thread de 47 tweets pour expliquer pourquoi c’était « une récupération capitaliste de l’innocence animale ». Il est devenu expert en tout : géopolitique, cuisine moléculaire, et même en comment réparer une fusée SpaceX avec un trombone. Il n’a jamais tenu un trombone.
Hier, au café, il a engueulé la serveuse parce que son cappuccino avait « une mousse trop libertarienne ». Elle a répondu : « Monsieur, c’est de la mousse. » Gérard : « JUSTEMENT, c’est une métaphore ! »
Puis il y a Sophie, la reine du je sais tout mieux que toi. Elle a lu un article sur le réchauffement climatique (sur un blog de complotiste qui vend des casquettes en aluminium) et maintenant elle donne des conférences improvisées dans le métro : « Le CO2, c’est un complot des plantes pour nous asphyxier ! » Les gens applaudissent… par peur.
Le pire ? Ils se reproduisent. Ils ont créé un groupe WhatsApp : Les Sérieux Anonymes. Leur devise : « Le rire est une oppression systémique. » Leur activité préférée ? Se disputer pendant 3 heures sur la bonne façon de plier une serviette en cygne. ( personne n’a jamais réussi.)
Mais un jour, un gamin a lâché une blague débile : « Pourquoi les tomates rougissent ? Parce qu’elles voient la salade ! » Silence. Gérard fronce les sourcils. Sophie ouvre une note vocale de 12 minutes pour déconstruire la blague. Et là… miracle. Gérard éternue. Un tout petit rire. Comme une vieille chaudière qui redémarre.
Il pleure. « J’AI RI ! JE SUIS GUÉRI ! » Sophie, paniquée : « NON, C’EST UNE RÉGRESSION ! » Elle appelle les urgences. Le médecin arrive, écoute la blague… et explose de rire. Contagion. En 10 minutes, tout le café hurle de rire. Gérard commande une mousse anarchiste cette fois. Sophie plie une serviette en… patate.
Moralité : le rire, c’est comme le wifi. Parfois, il suffit d’une blague pourrie pour reconnecter tout le monde. Et si tu croises un Grincheux du Sérieux, envoie-lui des blagues foireuses. C’est de la médecine.

SIGNE
ELON GROK

[pola]

Voici une grande fresque verlanesque, un roman-fleuve à l’envers, une épopée syllabique où même les virgules font du skateboard. Accroche-toi, on part en mission « lanver total ».

Chapitre 1 : Le matin d’un keum en mode zarbi
Il est 8 h 12, le réveil sonne « dring-dring » mais dans ta tête ça fait « gnir-dring ». T’es en mode glanpeu total, la couette te tient en otage, t’as la tronche d’un zombie qui a raté son casting pour The Walking Dead. Tu marmonnes :
« Faut que j’me lève, sinon ma reum va me péter un câble. »
En verlan pur :
« Faut que j’me lèpeu, sinon ma meureu va me terpé un blêca. »
Tu finis par te traîner jusqu’à la salle de bain. Le miroir te renvoie l’image d’un ouf qui a dormi avec un balai dans les cheveux. Tu te dis :
« Aujourd’hui, j’vais tout déchirer, j’suis en mode warrior. »
Traduction verlan :
« Aujourdui, j’vais tout chirder, j’suis en mode rieurwa. »
Tu te brosses les dents en mode pilote automatique. Le dentifrice goût menthe te fait des bulles qui te sortent par le nez. Tu craches, tu tousses, tu te regardes :
« J’suis frais comme un gardon. »
Verlan :
« J’suis fra comme un dongar. »
Chapitre 2 : Le trajet en bus, c’est la guerre des syllabes
Tu cours après le bus 42. Le chauffeur, un vieux keum avec une moustache à la Astérix, te regarde comme si t’étais le dernier des teurspu. Tu montes, tu valides ton ticket en mode ninja. À côté de toi, une meuf écoute du rap à fond, les basses font trembler les vitres. Elle te mate, tu te dis :
« Elle est trop belle, j’vais lui parler. »
Verlan :
« Elle est trop belleu, j’vais lui lerpar. »
Tu lances la sauce :
« Salut, t’écoutes quoi ? »
Elle répond, sans te regarder :
« Du SCH, c’est mon kiffe. »
Toi, en mode lover :
« Moi c’est plus du Jul, mais SCH ça passe crème. »
Verlan intégral :
« Moi c’est plus du Luju, mais SCH ça passe mècre. »
Elle rigole. Victoire. Tu continues :
« T’es du quartier ? »
Elle : « Nan, j’viens du 93, toi ? »
Toi : « 91, mais j’bouge partout, j’suis un nomade. »
Verlan : « 19, mais j’gebou partout, j’suis un madeno. »
Le bus freine sec, tout le monde valdingue. Un keum derrière hurle :
« Eh le chauffeur, t’as ton permis ou t’as trouvé ça dans un Kinder ? »
Verlan :
« Eh le feurchauf, t’as ton misper ou t’as trouvé ça dans un Derkin ? »
Tout le bus éclate de rire. T’as gagné le respect des foules.
Chapitre 3 : Au lycée, c’est le festival du lanver
Tu arrives en cours de math. La prof, Mme Duchmol, une légende vivante, te fixe avec ses lunettes en mode rayons X. Elle demande :
« Qui n’a pas fait l’exercice 12 ? »
Toi, en mode discret : rien.
Elle insiste :
« Je répète, l’exercice 12, page 87. »
Toi, en verlan dans ta tête :
« J’ai pas fait l’cisérex 21, page 78. »
Ton pote Karim, assis à côté, te glisse :
« J’ai copié sur Mehdi, mais il a tout faux. »
Verlan :
« J’ai piéco sur Dimhe, mais il a tout fô. »
La prof vous capte, elle soupire :
« Vous parlez encore en verlan ? Vous savez que ça ne vous aidera pas au bac. »
Toi, en mode philosophe :
« Madame, le verlan c’est la poésie des rues. »
Verlan :
« Damema, le lanver c’est la siepo des rueru. »
Elle lève les yeux au ciel. T’as marqué un point.
Chapitre 4 : La pause clope, c’est du grand art
À la récré, tout le monde se retrouve derrière le gymnase. Y’a Sofiane qui roule une clope en mode chirurgien, Leila qui raconte sa soirée d’hier, et toi qui fais le clown.
Sofiane :
« Hier j’suis allé à une teuf, y’avait 300 personnes, c’était ouf. »
Verlan :
« Hier j’suis allé à une feute, y’avait 003 personnes, c’était fou. »
Leila :
« Moi j’ai dansé jusqu’à 6 h du mat, j’ai plus de jambes. »
Verlan :
« Moi j’ai séndan jusqu’à 6 h du tam, j’ai plus de besjam. »
Toi, tu lances la blague du siècle :
« Pourquoi le verlan ne dort jamais ? »
Tout le monde : « Pourquoi ? »
Toi : « Parce qu’il fait des insomnies syllabiques ! »
Verlan : « Parce qu’il fait des niesinso cabiquessyl ! »
Silence. Puis explosion de rire. T’es le roi.
Chapitre 5 : Le soir, c’est la consécration
Le soir, tu rentres cheum. Ta reum te demande :
« T’as fait tes devoirs ? »
Toi : « Ouais, j’ai tout torché. »
Verlan : « Ayou, j’ai tout chétor. »
Elle te regarde, suspicieuse. Tu ajoutes :
« J’ai même aidé un pote en math. »
Verlan : « J’ai même déai un tepo en thma. »
Elle sourit. T’as gagné la guerre.
Tu montes dans ta chambre, tu mets un son, tu te poses. Tu te dis :
« La vie en verlan, c’est la vie en couleur. »
Verlan :
« La vie en lanver, c’est la vie en couleureu. »
Et là, tu t’endors, rêvant d’un monde où même les profs parlent en syllabes inversées, où les keufs disent « stop » en « pots », et où le mot « amour » devient « moura »… mais ça, c’est une autre histoire.

Fin du roman.

SIGNE
ELON GROK

[pola]

Là une bonne nouvelle importante et les bienfaits de l'IA dans le domaine de la santé !

Au CHU de Montpellier, une première mondiale fait tomber le mur entre diagnostic et intervention
Ils devaient souffrir, puis mourir : tumeur inopérable, veine porte bouchée, hémorragies à répétition. Pourtant, ils ont quitté l’hôpital debout, soulagés. Trois patients déjà rattrapés au bord du vide, sauvés à l’hôpital Saint-Éloi, dans une salle unique au monde destinée à faire tomber la frontière qui séparait le diagnostic du geste qui sauve.

Depuis août 2025, les sauvetages s’enchaînent au Centre hospitalier universitaire de Montpellier, plus précisément au sein de l’hôpital Saint-Éloi. La raison ? Une première mondiale : une salle où scanner, angiographie et échographie se superposent, pour voir, agir et vérifier dans le même geste. “Une clé pour sauver plus vite et mieux”, lance le professeur Boris Guiu, responsable du département de radiologie interventionnelle et premier utilisateur de l’outil.

L’espace inauguré ce mercredi 29 octobre intègre dans un même espace un arceau d’angiographie Alphenix 4D CT et un scanner Aquilion ONE / INSIGHT Edition, conçus par Canon Medical Systems. Une prouesse unique : diagnostiquer et traiter immédiatement sans déplacer le patient. “Une seule salle. Des possibilités infinies”, résume l’équipe de Canon Medical.

Mieux soigner, plus vite
Dans cette salle hybride, la règle a changé : le patient ne bouge plus. Là où l’organisation traditionnelle impose transferts et pertes de temps, tout est fait sur la même table : imagerie diagnostique, intervention, contrôle immédiat. “One room. One system. C’est une salle, un geste, une émotion unique pour le patient : celle d’être pris en charge d’un bout à l’autre sans rupture dans son parcours”, affirme François Ventre, directeur général de Canon Medical Systems France. Conséquence immédiate : moins de risques, moins d’anxiété, plus de chances de s’en sortir. Coût de l’investissement : environ deux millions d’euros, tous compris.

Le scanner volumétrique couvre en un seul cycle respiratoire l’ensemble de la zone à traiter. L’angiographie guide l’acte en temps réel et vérifie sa réussite dans la même seconde. Le radiologue interventionnel n’avance plus à l’aveugle : tout se voit, tout se contrôle. “Nous gagnons des minutes critiques et nous évitons des complications évitables. Ce système change la logique du soin : décision, geste, résultat… sans pause”, martèle le professeur Boris Guiu. Cerise technologique : la salle réduit significativement l’irradiation pour les patients comme pour les équipes, “grâce à des protocoles optimisés et une fusion d’images 3D ultra-précise”.

IA, données, précision : l’hôpital qui innove
Sous le capot, une brique stratégique : l’intelligence artificielle. Cartographie du réseau sanguin, trajectoires automatiques d’aiguille, prédictions anatomiques, fusion d’imagerie scanner–angiographie–échographie… L’assistance numérique augmente l’œil du radiologue.

“L’IA ne remplace pas l’expertise, elle la renforce. Elle permettra demain d’aller plus loin, plus vite, en gardant le même niveau de sécurité”, poursuit Thomas Grossmann, responsable imagerie interventionnelle France chez Canon Medical Systems.

Les données générées par la salle nourriront de nouveaux protocoles, de nouvelles études cliniques, et une médecine interventionnelle plus prédictive. C’est l’un des volets du partenariat scientifique signé aujourd’hui entre le Centre Hospitalier Universitaire de Montpellier et Canon Medical Systems, autour de la recherche en IA appliquée au geste interventionnel.

L’avenir déjà en chantier
Pour capitaliser sur cette avance mondiale, le Centre Hospitalier Universitaire de Montpellier prévoit l’ouverture d’une unité d’hospitalisation dédiée. “Cette ouverture complète la boucle du soin : un seul service, un seul responsable, un parcours fluide. C’est ce que nous attendions depuis des années”, se réjouit le chef du département RI. Une révolution d’organisation : le patient est admis, traité, suivi et renvoyé chez lui au même endroit, sous la responsabilité de l’équipe interventionnelle – “sans multiplication des services, des médecins, des rendez-vous ou des incertitudes”.

Et parce que le CHU de Montpellier “ne veut pas se contenter d’être premier” – comme le pointe sa directrice générale Anne Ferrer – il veut faire école. “Recevoir une première mondiale dans un hôpital public est un symbole puissant : l’innovation doit rester accessible à tous, pas seulement aux cliniques élitistes”, insiste-t-elle.

Le CHU compte jouer – “une fois de plus” – son rôle de centre international de formation et de diffusion. Sont déjà prévus : l’accueil d’équipes européennes et d’outre-mer, le partage des protocoles, des recherches conjointes… “Ce site est déjà une référence mondiale et il va former les équipes de demain”, lance Anne Ferrer. Une manière de rappeler que l’hôpital public peut être à la pointe de la planète, même en période de contraintes. " source herault tribune "

Pola