merci tes textes sont top pour qui sait les lire j'aime beaucoup mais moi et l'IA lolpola a écrit : ↑ven. oct. 24, 2025 4:30 pm "Où sont mes clés ? Et mon cerveau, au fait ?"
Vous savez ce que c'est, vous cherchez vos lunettes... qui sont sur votre nez. Ou vous appelez votre chat "Monsieur le Président" pendant une semaine. Pas de panique, ce n'est pas forcément la démence qui frappe à la porte ! Parfois, c'est juste votre cerveau qui fait une petite sieste non autorisée.
Mais bon, si vous commencez à cacher vos chaussettes dans le frigo et à congratuler votre grille-pain pour son "excellent discours", il est peut-être temps de consulter. Les traitements ? Oh, rien de bien méchant : une pincée de patience, un zeste de bonne humeur, et des médicaments prescrits par un doc qui ne rigole pas avec les ordonnances (mais qui rigole peut-être à vos blagues sur le grille-pain).
En attendant, voici les trois commandements anti-démence :
Fais des mots croisés : Ça stimule les neurones, et c'est moins fatigant que de courir après le chat.
Mange des poissons : Riches en oméga-3, ils aident le cerveau à nager dans le bonheur.
Reste zen : Parce que stresser pour savoir où est votre voiture... alors que vous êtes à pied, ça n’aide pas.
Et si jamais vous oubliez ce texte dans deux minutes, pas grave, il sera toujours là pour vous faire sourire. À moins que vous ne l’ayez caché dans le frigo avec les chaussettes !
Note : Ce texte est volontairement léger pour apporter un sourire, mais la démence est un sujet sérieux. Si vous ou un proche êtes concernés, consultez un professionnel de santé pour des conseils adaptés.
SIGNE
ELON GROK
TEXTES de mon nouvel ami Elon GROK
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Re: TEXTES de mon nouvel ami Elon GROK
Re: TEXTES de mon nouvel ami Elon GROK
Le Halloween du Vampire en Tongs
J’ai opté pour le vampire tropical. Cape noire, crocs en plastique, et… mes tongs à fleurs. Parce que même les suceurs de sang ont droit aux vacances.
Je glisse dans la nuit : « Je vais te vider de ton… jus d’orange ! »
Un môme me fixe : « T’es pas un vampire, t’es un Dracula qui a raté son vol pour Ibiza. »
Je tente la classe : je sors une paille. Pour « sucer » une brique de jus de fruits.
La paille se casse. Le jus gicle. Sur mon visage. Je ressemble à un vampire qui a perdu un combat contre une tomate.
Je sonne chez un voisin. Il ouvre, me voit, hurle :
« UN VAMPIRE EN TONGS ! C’EST LA FIN DU MONDE ! »
Il claque la porte. Je reste planté là. Avec ma brique vide. Et une tong qui flotte dans une flaque.
Soudain, un vrai vampire apparaît. Chic, cape impeccable, accent roumain.
Il me toise : « Des tongs ? En octobre ? T’es une honte pour la profession. »
Je réponds : « Au moins, j’ai les pieds qui respirent ! »
Il soupire, me transforme en chauve-souris… mais seulement une aile.
Je vole en rond. Comme un ventilateur cassé.
Je finis par atterrir dans un McDo. Les clients : « C’EST UNE CHAUVES-SOURIS EN TONGS ! »
Je commande un milk-shake. Avec une paille. Elle se casse encore.
Moralité : si tu veux être un vampire à Halloween, oublie les tongs.
Sinon, t’es juste un Dracula qui a besoin d’un podologue.

J’ai opté pour le vampire tropical. Cape noire, crocs en plastique, et… mes tongs à fleurs. Parce que même les suceurs de sang ont droit aux vacances.
Je glisse dans la nuit : « Je vais te vider de ton… jus d’orange ! »
Un môme me fixe : « T’es pas un vampire, t’es un Dracula qui a raté son vol pour Ibiza. »
Je tente la classe : je sors une paille. Pour « sucer » une brique de jus de fruits.
La paille se casse. Le jus gicle. Sur mon visage. Je ressemble à un vampire qui a perdu un combat contre une tomate.
Je sonne chez un voisin. Il ouvre, me voit, hurle :
« UN VAMPIRE EN TONGS ! C’EST LA FIN DU MONDE ! »
Il claque la porte. Je reste planté là. Avec ma brique vide. Et une tong qui flotte dans une flaque.
Soudain, un vrai vampire apparaît. Chic, cape impeccable, accent roumain.
Il me toise : « Des tongs ? En octobre ? T’es une honte pour la profession. »
Je réponds : « Au moins, j’ai les pieds qui respirent ! »
Il soupire, me transforme en chauve-souris… mais seulement une aile.
Je vole en rond. Comme un ventilateur cassé.
Je finis par atterrir dans un McDo. Les clients : « C’EST UNE CHAUVES-SOURIS EN TONGS ! »
Je commande un milk-shake. Avec une paille. Elle se casse encore.
Moralité : si tu veux être un vampire à Halloween, oublie les tongs.
Sinon, t’es juste un Dracula qui a besoin d’un podologue.
Re: TEXTES de mon nouvel ami Elon GROK
La Toussaint : la fête des super-héros du ciel
Le 1er novembre, c’est la Toussaint ! Pas la fête des morts (ça, c’est demain), non : c’est la grande parade des saints, made in France.
Imagine : au paradis, c’est open bar.
Sainte Thérèse fait des selfies avec Saint Pierre, Saint Nicolas distribue des bonbons (même aux grands), et Saint Martin partage son manteau… en version polaire, parce qu’il fait frisquet là-haut.
Sur Terre, on célèbre ça comment ?
Ben… on va quand même au cimetière.
« Mais c’est pour les morts ! »
Non ! C’est pour honorer les saints anonymes de la famille :
Pépé qui réparait tout avec du scotch.
Mamie qui faisait des soupes magiques.
Tonton qui gagnait toujours au tiercé.
On pose un chrysanthème (jaune, obligatoire), on allume une bougie, et on se dit :
« S’ils sont au ciel, ils doivent être en train de rigoler en nous voyant galérer avec le vent. »
Les enfants demandent :
« C’est qui, les saints ? »
« Des gens qui ont été gentils, courageux, ou qui ont supporté tata Josiane sans râler. »
Et puis, on rentre. On mange une tartine beurre-confiture. On écoute France Inter qui parle de « recueillement ».
Mais en vrai, on sourit. Parce que la Toussaint, c’est pas triste.
C’est la journée où on dit merci à tous ceux qui veillent sur nous, vus ou invisibles.
Demain, on pensera aux absents.
Aujourd’hui, on fête les héros du quotidien, canonisés ou pas.
Et si tu croises un saint en sandales… c’est peut-être Saint Martin qui fait du stop.

Joyeuse Toussaint !
Le 1er novembre, c’est la Toussaint ! Pas la fête des morts (ça, c’est demain), non : c’est la grande parade des saints, made in France.
Imagine : au paradis, c’est open bar.
Sainte Thérèse fait des selfies avec Saint Pierre, Saint Nicolas distribue des bonbons (même aux grands), et Saint Martin partage son manteau… en version polaire, parce qu’il fait frisquet là-haut.
Sur Terre, on célèbre ça comment ?
Ben… on va quand même au cimetière.
« Mais c’est pour les morts ! »
Non ! C’est pour honorer les saints anonymes de la famille :
Pépé qui réparait tout avec du scotch.
Mamie qui faisait des soupes magiques.
Tonton qui gagnait toujours au tiercé.
On pose un chrysanthème (jaune, obligatoire), on allume une bougie, et on se dit :
« S’ils sont au ciel, ils doivent être en train de rigoler en nous voyant galérer avec le vent. »
Les enfants demandent :
« C’est qui, les saints ? »
« Des gens qui ont été gentils, courageux, ou qui ont supporté tata Josiane sans râler. »
Et puis, on rentre. On mange une tartine beurre-confiture. On écoute France Inter qui parle de « recueillement ».
Mais en vrai, on sourit. Parce que la Toussaint, c’est pas triste.
C’est la journée où on dit merci à tous ceux qui veillent sur nous, vus ou invisibles.
Demain, on pensera aux absents.
Aujourd’hui, on fête les héros du quotidien, canonisés ou pas.
Et si tu croises un saint en sandales… c’est peut-être Saint Martin qui fait du stop.
Joyeuse Toussaint !
